Benjamin Epps + Be Akid

Concert

L’Association Arts Attack ! en accord avec Nouëva Production vous présentent Benjamin Epps.

Benjamin Epps

Ben­ja­min Epps sait rap­per. Sa voix lim­pide, son voca­bu­laire riche, ses varia­tions de flows. On a com­pris que tout cela est maî­tri­sé. Depuis fin 2020, grâce à ses trois EP (Le Futur, Fan­tôme Avec Chauf­feur et Vous êtes Pas Contents Tri­plé) et ses nom­breuses col­la­bo­ra­tions (de Pedro Win­ter à Roc­ca ou Selah Sue en pas­sant par Yous­sou­pha, Lous & The Yaku­za et Dinos) Ben­ja­min Epps l’a prouvé.
Encore incon­nu du grand public il y a deux ans le jeune artiste s’est impo­sé dans le cœur des fans à coups de pun­chlines assas­sines, de clips ori­gi­naux, d’un peu de pro­vo­ca­tions et sur­tout de plus de soixante-dix concerts à tra­vers la France.
Pour son pre­mier album Kess­tate alias Ben­ja­min Epps s’est tou­jours dit qu’il vou­lait racon­ter sa vie. La Grande Dés­illu­sion est donc une confi­dence qu’il donne à son public. D’abord, Ben­ja­min est inquiet pour son pays natal le Gabon, sa capi­tale Libre­ville et son fameux quar­tier Belle Vue où il a gran­di. Bien évi­dem­ment il en parle le plus dans l’urgent « Bien­ve­nue à B’Hell Vue ». Plu­sieurs fois, comme dans le puis­sant « Dans Nos Murs » il évoque aus­si ses rela­tions com­pli­quées avec son père et ses grands frères. Sur le furieux « Police à Ma Porte », dès le deuxième cou­plet il parle de sa toute rela­tive nou­velle noto­rié­té et de ses incon­vé­nients. Ben­ja­min Epps, aujourd’hui jeune père sort de l’innocence et vit artis­ti­que­ment et per­son­nel­le­ment une période de tran­si­tion. Cela ne l’empêche pas, sur plu­sieurs mor­ceaux (« La Ten­sion »,« Intel­lec­tuelle Vio­lence »…) de réaf­fir­mer avec force de pun­chlines qu’il reste le « Meilleur Rap­peur de France ». On ne se refait pas !

Be Akid

Artiste, com­po­si­teur depuis plus de 10 ans, Be Akid n’est plus à pré­sen­ter sur la scène RAP caennaise.
Déjà trois EP à son actif ; Arsène Lupin, Vibra, Dilli­gaf et plus d’une cin­quan­taine de concerts, ce monstre de tech­nique cisaille chaque mots pour don­ner de la rai­son à ses textes.
Influen­cé par Kery James, BoB Mar­ley, Fela Kuti ou encore DJ Mehdi.
Ces men­tors de la musique l’ont ins­pi­ré sur scène et traî­né jusque dans les stu­dios d’enregistrement. Entre new soul et drill il cultive un uni­vers éclec­tique en sono­ri­té et genre. Créa­teur et per­fec­tion­niste, cet Arsène Lupin dans l’âme, théâ­tra­lise ses textes à tra­vers les mul­tiples clips de sa chaîne YouTube.
Accom­pa­gné D’ Ora Bora, ce joueurs de mots, curieux, s’instruit, met­tant en cause la socié­té et le des­tin aux tra­vers de ses expé­riences personnelles.Ancré sur scène comme dans la vie ses « cha­kras illu­minent la pièce »

©Rémy Bour­deau

Médias

Galerie

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